Découvrez le témoignage de Pascal Ravel, Fondateur et CEO de Time to Fly , qui utilise l'application Woby pour faciliter l'organisation du travail hybride au quotidien.
Retranscription écrite de l'interview
Bonjour.
Bienvenue dans ces locaux.
Comment a évolué votre organisation?
Ce projet, en fait le premier, à pris naissance dans cette envie de fédérer de faire communiquer tout le monde et de rassembler toutes les énergies liées aux sociétés du groupe. On partait du postulat que tout le monde était là. Le covid est arrivé. Le télétravail a fait son entrée en force.
À partir du moment où on a emménagé dans ses bureaux, c’était juste après le troisième confinement.
Il y a eu cette demande légitime des salariés de pouvoir continuer à bénéficierde temps de télétravail.
Et pour nous qui sommes une société qui s’est basée sur la communication auquotidien, les échanges pour comprendre les problématiques qu’un rencontreen mission, la mise en place d’un projet commun. l’idée est de grossir pour êtrecapable d’avoir les outils de projet de plus en plus importants pour toucher tousles problèmes de l’aviation. On s’est retrouver avec cette problématique qui estque nos équipes, de temps en temps n’étaient pas là. Soit parce qu’elles étaienten télétravail, on a une forte composante de déplacement chez le client aussi.Du coup si vous cumulez déplacement client plus télétravail vous vousretrouverez avec des présences très limitées.
On voit que déjà le bâtiment a été prévu pour les salariés.
La composante principale n’étant pas là c’est une problématique qu’in avait pasanticipé bien sûre.
Notamment avec la création de Time to work qui est cette nouvelle marque qui va générer l’activité dans ce bâtiment.
Quel est le rythme du télétravail ?
Le rythme c’est deux jours de télétravail par semaine.
Ces deux jours de télétravail, on ne compte pas les déplacements aussi. C’est àdire que vous avez deux jours de télétravail mais si vous partez en déplacementtrois jours, vous venez pas au bureau.
On a même étendu le sujet puisqu’on a ouvert un bureau à Bordeaux. Donc ils ont aussi eux deux jours de télétravail par semaine. Mais on a des gens, qui sont à 100% télétravail.
As-tu changé la culture ‘entreprise ?
On a vraiment du s’adapter puisqu’aujourd’hui ça fait partie des composantes non négociables, en France, quand vous voulez attirer des gens dans votre entreprise. C’est un vrai défi. Parce que justement, la société n’a pas démarré sur ces bases là.
Et donc on essaye de s’adapter, notamment en utilisant des applications.Quelque chose qui va nous permettre de tracer, alors pas tracer avec le mauvais sens du mot tracer, de tracer la présence des gens de façon à pouvoir générer ces moments de créativité, ces moments d’échanges, puisque les gens vont pouvoir positionner leur télétravail au bon moment par rapport à la présence de leurs collègues avec qui ils travaillent sur les projets etc. On n’avait pas le choix que d’essayer de changer la culture d’entreprise.
En plus, on a lancé en même temps vraiment un projet RSE. Donc de toutefaçon, tout ça se complète parfaitement. Et donc on s’est lancé dans ledéveloppement durable pour nous et pour nos clients.
Je dialogue avec nos salariés, pour essayer de travailler avec eux sur cette culture.
On a pas d’autre choix que d’essayer de s’adapter.
On a des gens qui travaillent à 100% à distance on a un bureau à Bordeaux, on a des gens qui travaillent ici.
Il y en a qui n’aiment pas le télétravail, qui viennent tout le temps. On a unemultiplicité de profils qui fait que de toute façon, on est obligé d’avoir uneculture assez large.
On doit prendre en compte les gens qui viennent jamais pour les faire revenir régulièrement de façon à créer des moments de convivialité qui vont permettre de continuer à rapprocher les équipes.
Et c’est le travail aussi des managers de s’assurer que leur équipe se connait est productive, échange.
Et puis c’est du travail... notre travail à nous, nous assurer que les différents départements communiquent entre eux à travers des événements, des séminaires qu’on organise.
Quelles sont vos problématiques rencontrées avec cette nouvelle organisation ?
Je vais avoir deux problématiques, en fait.
Là, c’est plus de savoir qui est là. Qui est au bureau.
Qui sera là demain de façon à ce que moi j’ai un projet sur une compagnie aérienne avec qui je travaille, pour qui je travaille et je travaille avec deux personnes dans un autre département. Je sais qu’ils seront là dans deux trois jours. Je m’arrange pour être là ou pas, pour pouvoir travailler ensemble sur le sujet.
Nos ressources mise en commun, les zooms, alors tout ce qui est zoom, teams, etc.
On les as mis en commun sur Woby.
On a aussi une voiture, une voiture de société électrique. C’est pareil, on la mise en ressource commune sur Woby. On réfléchit à mettre d’autres choses puisque finalement on va avoir une gestion globalisée, non liée au bureau.
On a le bureau de Bordeaux aussi qui sera là dessus. Puis il n’y a pas de limite en faite.
Il n’y a pas de limite !
Du coup, l’idée, c’est vraiment de centraliser la gestion de tout ce qui est ressource commune.
Donc on sort juste du simple cadre des bureaux. C’est tout ce qui est ressources commune de façon à assurer que cette gestion soit la plus collective possible.
C’est aussi pour faire cohabiter dans l’espace d’autres sociétés que simplement la société Time to Fly.
Par exemple: on a une salle de formation qui s’appelle pour ma société Time toLearn. Mais du coup cette salle de formation, est est réservable pour des formations extérieures. Et donc on a sur l’appli l’information.
Comment maintiens-tu le lien social avec le travail hybride ?
Tous les lundis matins, on a une tradition où un salarié amène le petit déjeuner pour tout le monde. Du coup hier le salarié qui était en charge de...
Fred qui devait amener le petit dej, à envoyé un message sur Whastapp pour dire j’ai vue sur Woby que il y avait que 6 personnes, c’est cool ça me coûtera moins cher. Typiquement oui, donc ça permet de savoir à l’avance qui sera là et se coordonner.
Réserver ensemble la place qu’ils veulent, c’est pas juste: je suis au bureau !C’est, je suis dans telle zone, on a des noms... coin soleil, salle bleu, salle rouge, salle R2D2, coin sieste.
Donc voilà, donc on peut aussi organiser sa journée en fonction de qui est là. Eton va aller travailler là.
Avec la table projet dans une salle fermée.
Pourquoi Woby ?
Notre travail maintenant, avec toutes ces zones, tous ces espaces, c’est de faire vivre ces communautés pour générer quelque chose.
On va revenir à ce qu’on avait prévu à l’origine dans ces locaux, c’est faire venir des gens qui échangent, qui communiquent et qui créent. Pour orchestrer ça, on a besoin de quelque chose comme Woby, parce que l’on a besoin, nous, de savoir qui est là, comment ça se passe. Si on organise une conférence sur un sujet bien précis, on va s’assurer que ce jour là. L’organisation hybride et la sobriété énergétique
On n’a jamais travaillé avec vraiment une dépense énergétique énorme. On a toujours été dans cette idée d’être en mode frugale. On a des voitures électriques, on a des vélos. Pour être crédible vis à vis de nos clients. Quand on dit nous on va faire une aviation durable, ce qui est quand même quelque chose de compliqué à atteindre. Il faut que nous mêmes, on soit plus l’incarnation, de ça.
On a commencé nous, par comprendre ce que c’était le RSE. On a atteint un label qui s’appelle Positive Workplace. Donc c’est cette volonté de rentrer dans une réflexion plus durable. Elle se traduit aussi par nos activités et elle se traduit aussi par ce même projet de ce lieu qui doit-être le carrefour de toutes ces actions en fait.
Du coup, à partir du moment où on est capable de piloter la présence des gens ici et en tout cas de piloter et de fermer ou pas la clim, le chauffage etc.
On va pouvoir mettre en place des journées entières ou on va fermer les bureaux et il n’y aura plus aucune consommation.
Dans le prochain épisode de Woby Media, nous aborderons le travail hybride et multi-sites avec l'entreprise Stello.
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